– 1ère immat: 06/1992 – 43500 km
– Moto en très bon état
– Ce Vmax d’occasion est garanti 3 mois par Chambourcy Motos
– Contactez Jean au 01 30 65 31 52
#yamaha #vmax #custom
Le Repaire des Motards nous raconte l’histoire de l’épopée Vmax
Essai Yamaha V-Max 1200 (1989)
V-Max sans masque
A peine sortie et déjà culte ! Pourtant, elle est lourde comme une enclume, impose des
trajectoiresdignes d’une gondole et son autonomie ne permet même pas de rejoindre l’étape suivante. Mais elle a un moteur. Et un physique à se damner jusqu’à la dixième génération…
Un peu d’histoire
Initialement, la 1200 V-Max n’est conçue que pour le marché nord-américain et Yamaha daigne tout juste la punaiser dans son catalogue japonais. De toute façon, dans l’Empire du Soleil Levant, le permis de conduire de plus de 400 cm3 est réservé à une élite et les frais d’assurance d’un engin comme celui-ci sont considérables. La firme d’Hamamatsu considère donc qu’il n’y a qu’aux Etats-Unis que la V-Max soit capable de godiller d’une voie à l’autre.
Pourtant, Jean-Claude Olivier, alors importateur français de la marque, saura convaincre la maison-mère de lui céder une dizaine de machines pour voir si ça prend dans l’Hexagone. Une légende urbaine prétend que Coluche l’aurait découverte lors d’un voyage aux States en 1985 et qu’il en aurait importé une par lui-même… Gérard Depardieu également acquiert un de ces clinquants engins, mais à l’époque on le connaît plus pour son activisme dans le 7e art que comme broyeur patenté de motos. Quoi qu’il en soit, la V-Max française sera, c’en est décidé !
Lire la suite sur Le Repaire des Motards
Découvrir la fiche technique de la Yamaha Vmax 1200 sur Motoplanete.com
Au panthéon – Yamaha 1200 V-MAX 1992
Dès sa sortie en 1985, la V-max est un phénomène. Le genre de motos qu’il est impossible de remplacer tant elles sont empreints de personnalité. Au début, il y a eu ce style, moto de voyou avec son impressionnant V4. La version originale était dotée d’un système d’alimentation très spécifique qui boostait le moteur à 145 cv. Avec ses 4 carbus installés en carré, la veine gazeuse peut être gavé par un ingénieux procédé. Les carbus communiquent, et quand un cylindre est en phase d’admission, il récupère le mélange de son carburateur et de celui qui lui est accolé. Un servomoteur commande progressivement l’ouverture d’un jeu de clapets papillons.
Lire la suite sur Motoplanete.com