– Année modèle 1970 – 16400 Km
– Moto de Collection
– Etat exceptionnel – Garantie 3 mois
– Nombreuses factures
– Rapport d’expertise avec évaluation
– Contactez Jean au 01 30 65 31 52
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La mythique Kawasaki 500 H1 MACH III est chez Chambourcy Motos !
Offrez-vous une moto de légende.
De nombreux essais perpétuent la notoriété de la Kawasaki H1 Mach 3 qui reste une référence par les innovations qu’elle proposait.
La Kawasaki 500 H1 Mach 3 proposée par Chambourcy Motos : un état exceptionnel pour une moto d’exception !
Essai de la Kawasaki 500 H1 Mach 3 – Moto Journal
Essai moto classique : Kawasaki 500 H1, la peur au ventre
Machine ô combien mythique, la Kawasaki H1 Mach III a profondément marqué l’histoire de la moto. Un véritable monstre à l’époque, toujours aussi impressionnant aujourd’hui.
« Oh pu… tain ! : cette exclamation du Joe Bar Team n’a jamais eu autant de sens pour moi… Pourquoi ? Parce que je suis assis sur une Kawasaki 500 H1 Mach III, poignée de gaz soudée à fond. La fameuse Faiseuse de veuves(surnom dû à son châssis peu en accord avec sa puissance) ! »
Un caractère moteur qui déchire !
« Avec un caractère véritablement on/off, le 3-cylindres en ligne 2-temps à graissage séparé déto(n)ne. Bien rond entre 2 000 et 5 000 tr/min, il affiche une douceur ainsi qu’une souplesse surprenantes, ce qui permet d’enrouler en toute décontraction. A 5 500 tr/min, en revanche, on sent que la situation va se corser. L’aiguille du compte-tours commence à trembler sérieux, la sonorité de l’échappement annonce l’arrivée imminente de la cavalerie en couinant vers les aigus. »
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MotoStation a consacré un reportage vidéo à la Kawasaki 500 H1
Essai d’une moto mythique, la fameuse Kawasaki 500 H1 D. Un trois cylindre 2-temps, épouvantail des années 1970 !
MotoServices.com propose une génèse du projet qui donna naissance à la Kawasaki 500 H1
Présentation de la Kawasaki 500 H1 Mach III
Naissance d’un projet
500 H1 Mach IIIIl y a une quarantaine d’années, l’économie japonaise connut une période de croissance particulièrement soutenue. Kawasaki saisit alors cette opportunité conjoncturelle à deux mains et la production de motos en fut l’une des manifestations les plus évidentes. Le milieu des années 60 marqua également le signal du début de l’ère des machines délibérément orientées vers la performance.
En septembre 1966, surfant sur le « Izanagi Boom », Kawasaki annonça fièrement le lancement de la W1, une moto de 650cc, alors la plus grosse cylindrée proposée sur le marché japonais. En août 1967, la 250 A1, plus connue sous le nom de « Samouraï », lui souffla la vedette puis rapidement suivie ce fut le tour de la 350 A7, machine à l’alésage plus important. Ce fut incontestablement la période où Kawasaki posa les fondations de son succès futur.
Kawasaki n’était pas le seul constructeur nippon. Honda avait lancé au même moment sa CB450 et Suzuki sa T500. Ces deux modèles rencontrèrent un succès confirmé et très rapide sur les principaux marchés étrangers. À cette époque en effet, la demande du public motard s’orientait clairement vers des machines de forte cylindrée, plus puissantes et plus performantes, et chaque constructeur s’employait à répondre le mieux possible à cette nouvelle attente du marché.
Aux USA, qui était alors le plus gros marché mondial pour la moto, les motards étaient focalisés sur cet aspect des choses. Mais, quand les requêtes arrivaient dans les bureaux d’étude des constructeurs au Japon, elles étaient systématiquement assorties d’une demande pour des prix de vente planchers. Et à vrai dire, concilier les deux exigences n’était pas chose facile pour les constructeurs de l’archipel.
La réponse de Kawasaki se concrétisa par le lancement d’un projet « Top secret » connu sous le nom de code N100.
Il démarra réellement en juillet 1967 avec l’objectif d’afficher des caractéristiques techniques décoiffantes pour l’époque : un moteur de 500cc capable de « sortir » 60 chevaux (soit une puissance au litre de 120 ch) et offrant un potentiel d’accélération de 13” pour le 400 mètres Départ Arrêté !
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